Papus (Gérard Encausse)

Portrait de Gérard Encausse, dit Papus
Portrait de Gérard Encausse, dit Papus1

Gérard ENCAUSSE (13 juillet 1865 - 25 octobre 1916), dit Papus, était un médecin et un occultiste français. Surnommé « Le Balzac de l'occultisme », il a écrit plusieurs dizaines d'ouvrages sur l'occultisme et la magie. Il fut l’un des plus proches disciples de Monsieur Philippe2.

« Le docteur Papus était un homme simple donnant l'impression de la force, dans tous les plans : force physique terrible et peu connue, car il la dissimulait comme toutes ses supériorités ; force intellectuelle révélée par le front immense et les yeux inoubliables ; force spirituelle se dévoilant à tous par une charité inépuisable, une bonté vraie. »3

Biographie de Gérard Encausse, dit Papus

Une chronologie des principaux évènements de la vie de Papus fait l'objet d'une page dédiée.

La jeunesse de Gérard Encausse (1865-1887)

Gérard Encausse est né le 13 juillet 1865 à La Corogne, en Espagne. Ses parents, Irène Pérez-Vierra et Louis Encausse, s'installèrent à Montmartre dès 1869. Il passa la plus grande partie de son enfance à Paris.

Portrait du Dr Gérard Encausse, Médecin de l'Hôpital Saint-Jacques
Portrait du Dr Gérard Encausse, Médecin de l'Hôpital Saint-Jacques4

Papus, l'occultiste (1887-1894)

Papus effectua son service militaire de 1888 à 1891, au 31ème Régiment d'Infanterie, puis au 113ème, et enfin au 76ème.5

Le pseudonyme Papus

Gérard Encausse opta pour le pseudonyme « Papus », nom de l'un des génies du Nuctémeron d'Apollonius de Thyane6.

« Le Nuctéméron compte douze heures symboliques analogues aux signes du Zodiaque magique et aux travaux allégoriques d'Hercule. Ces douze heures représentent la série des œuvres de l'initiation. Il y a sept génies pour chaque heure, soit quatre-vingt-quatre génies au total. "Papus" est le premier des génies de la première heure. C'est le génie de la médecine. "Haven" (qui devait être pris ensuite comme pseudonyme par le Dr Lalande (Marc Haven) est le septième génie de la première heure. C'est le génie de la dignité. "Par ces génies, précise Eliphas Lévi, les anciens hiérophantes n'entendaient ni des dieux, ni des anges, ni des démons, mais des forces morales ou vertus personnifiées". »7

La Librairie du Merveilleux

Vers 1888, Papus proposa à Lucien Chamuel de créer une maison d'édition.

« Un jour, [Papus] dit à Lucien Chamuel : "Il suffirait de quelques billets de mille francs pour créer une maison d'édition d'ouvrages d'occultisme qui pourrait parfaitement se tenir debout". Peu de temps après, Chamuel louait une boutique rue de Trévise. Il y fondait "La Librairie du Merveilleux" et cette maison allait devenir un centre d'où rayonneraient des idées antiques et rénovées. »8

La Librairie s'installa au 29 de la rue de Trévise, à Paris.

« "La Librairie du Merveilleux" fut aussitôt le réceptacle d'une activité ardente. Elle fondait une revue mensuelle, L'Initiation, qui devait vivre une vingtaine d'années, ce qui constitue la longévité pour une revue d'études hautes. »9

La revue « L'Initiation »

Premier numéro de L'Initiation, Revue philosophique indépendante des Hautes Etudes
Premier numéro de L'Initiation
[Télécharger - Source : L'Initiation]

Papus avait vingt-trois ans lorsqu'il fonda la revue « L'Initiation » en octobre 1888. Celle-ci portait en sous-titre « Revue philosophique indépendante des hautes Etudes » et traitait d'hypnotisme, de théosophie de franc-maçonnerie et de sciences occultes.

« L'idée qui a présidé à la fondation de l'Initiation est la Tolérance absolue pour toutes les écoles s'occupant plus ou moins des sujet de Haute Philosophie et d'Occultisme.

Devant le sectarisme sans cesse grandissant, qui menaçait de transformer en ennemis les écrivains et les penseurs poursuivant un même but, nous avons voulu faire œuvre de conciliation et de synthèse.

Nous avons voulu montrer aux membres de la Société Théosophique, aux Kabbalistes occidentaux, aux fervents du Spiritisme, du Magnétisme ou des autres branches de l'Occultisme, qu'une doctrine identique par beaucoup de points les rassemblait tous dans un même but. Les questions de personnes ont malheureusement trop souvent le pas sur les questions de doctrines et c'est là qu'il faut chercher la cause véritable des dissensions qui partagent en sectes souvent irréconciliables, toutes les petites chapelles passées, présentes et à venir.

Voilà pourquoi nous avons fait appel à toutes les écoles en fondant l'Initiation, et nous sommes heureux de constater l'empressement avec lequel écrivains et public ont répondu à notre attente. »10

La rencontre de Sédir

Sédir avait 18 ans lorsqu'il rencontra pour la première fois Papus, fin 1889. Il devint l'un des plus proches collaborateurs de Papus et l'un des principaux contributeurs de la revue L'Initiation.

« Je me trouvais, un soir, dans la fameuse boutique de la rue de Trévise11 où régnait le bon Chamuel, quand se présenta un tout jeune homme, mince et lent, qui déclara à brûle-pourpoint : - Voilà ! Je veux faire de l'occultisme. A l'aspect gauche et non dégrossi de l'arrivant, je ne pus m'empêcher de rire. La suite me montra combien j'avais tort. Papus qui savait utiliser les hommes, ne rit pas, il dit : - C'est très bien, mon garçon. Venez chez moi dimanche matin. Et ce dimanche-là, Papus confia au néophyte le soin de tenir en ordre la précieuse bibliothèque qu'il se constituait. Ainsi débuta dans les hautes études le jeune gars breton qui se nommait Yvon Leloup. »12

Un auteur précoce

En 1894, Gérard Encausse, alors âgé de vingt-neuf ans, avait déjà publié une vingtaine d'ouvrages. Certains d'entre eux devinrent rapidement des références dans leurs domaines respectifs. Il signa la plupart de ses livres sous son pseudonyme Papus. On peut citer notamment, parmi ses nombreuses publications :

  • Ses ouvrages sur l'occultisme : le "Traité élémentaire de science occulte" (1888) et le "Traité méthodique de science occulte" (1891)
  • Son étude sur le Tarot : "Le Tarot des Bohémiens" (1889)
  • Son étude sur la Cabbale : "La Cabbale" (1892)
  • Ses ouvrages sur la magie : "La Science des Mages" (1892) et le "Traité élémentaire de magie pratique" (1893)

De l'occultisme au mysticisme (1894-1895)

A l'instar de Sédir, la rencontre de Monsieur Philippe fut décisive pour Papus.

« Après avoir été matérialiste, après être devenu spiritualiste, occultiste, Papus fut enfin amené au mysticisme pur à la suite de sa rencontre avec le Maître Philippe. »13

La conjuration

Philippe Encausse a décrit les circonstances dans lesquelles Papus entendit parler de Monsieur Philippe14. Croyant être envoûté par ce dernier, Papus tenta de se défaire par la magie de la prétendue emprise que Philippe avait sur lui, probablement en 1894.

« [Papus] se propose donc de chasser l'inconnu et de le soumettre. Il trace son cercle, brûle le parfum, prend un de ces supports en bois blanc qu'on emploie pour soutenir les planches, le baptise à la bohémienne aux nom et prénoms de la personne en question, chante la conjuration et saisit son sabre pour, en brisant le morceau de bois, vaincre son soi-disant envoûteur. Encausse était à cette époque dans toute sa force, un véritable athlète... Il lève le bras, et son sabre lui est arraché du poing tandis qu'il s'écroule en pleurant. C'est, ajoute Paul Sédir, ce qu'il me raconta lorsque j'arrivai une demi-heure plus tard, comme à mon habitude. Depuis, et jusqu'en 1897, il fut silencieux sur M. Philippe. »15

La rencontre de Monsieur Philippe

Papus rencontra Monsieur Philippe en 1894.

« Philippe fut, pour Papus, le "Maître spirituel", celui dont l'influence fut capitale pour l'orientation nouvelle de l'auteur du Traité de Magie pratique. Dans les dernières années de son existence terrestre, Papus avait, en effet, évolué vers le mysticisme chrétien. D'aucuns le lui ont reproché. Ils ont tort, ne serait-ce que par respect humain. Aux différentes phases de son évolution un être humain est toujours respectable. Et je puis assurer que ce développement spirituel dû à la présence, aux actes puis au seul souvenir du Maître Philippe, a été un bien pour Papus comme pour un grand nombre de ceux qui l'entouraient. »16

De gauche à droite : Papus, Marc Haven, Monsieur Philippe, Sédir et Rosabis

L'école de magnétisme de Lyon

L'Ecole de Magnétisme de Lyon a été créée en 1895 à l'initiative de Papus. Succursale lyonnaise de l’Ecole pratique de Magnétisme et de Massage, elle fut dirigée par Monsieur Philippe.

« En novembre 1895, sur la proposition de Papus (qui avait été émerveillé par la puissance du Maître), une école secondaire de magnétisme et de massage fut établie à Lyon. M. Philippe fut pressenti pour en prendre la direction et il accepta. Il fut alors nommé professeur titulaire de la chaire de clinique magnétique tandis que, sur sa proposition, M. Jean Chapas était nommé maître de conférences chargé des cours d'histoire du magnétisme. »17

Les paroles de Monsieur Philippe

Dans son ouvrage « Le Livre de la Chance » Papus a résumé les préceptes enseignés par Monsieur Philippe :

  • « Faire ce qui coûte avant ce qui plaît.
  • Vivre le présent et ne pas douter de l’assistance du Ciel pour l’avenir.
  • Ne pas juger les autres et ne pas dire du mal des absents.
  • Ne pas se croire meilleur que d’autres. L’occasion seule a souvent manqué pour que nous fassions comme eux.
  • Empêcher autant que possible qu’on dise devant vous du mal d’un absent.
  • Partager avec ceux qui en ont besoin son aide morale, son temps et son superflu, sans espoir de retour.
  • Pardonner à ses ennemis et ne jamais attaquer le premier devant la justice, même si l’on croit avoir raison. »18.

Papus, l'initiateur (1895-1916)

Papus publia dans la revue L'Initiation de décembre 1895 un long article intitulé "Comment je devins mystique". Alors âgé de trente ans, il y expliquait son cheminement spirituel, du matérialisme à l'occultisme, puis de l'occultisme au mysticisme. Une interview de Papus, publiée dans L'Initiation de septembre 1901, complète cette autobiographie.

Portrait de Papus (1906)
Portrait de Papus (1906)19

« Resté très parisien de Montmartre, d'allure parfois vulgaire, impénétrable au moment même où l'on croyait le comprendre, obéissant à des mobiles inconnus de tous, Papus, par une sorte d'ascétisme, se faisait volontairement mal juger. Nul homme, peut-être, plus calomnié, nul qui ait aimé la calomnie, qui s'y soit, pour ainsi dire complu davantage. Nul plus haï, mais nul aussi plus aimé quand on l'avait compris. Initiateur en apparence bénévole, en réalité très prudent, il ne laissait qu'à bon escient entrevoir la Vérité qu'il voulait enseigner. »20

Papus fut un véritable « Initiateur » pour un grand nombre de ses élèves.

« Aucun homme n'a marqué mon esprit d'une empreinte comparable à celle qu'y laissa Papus. Il m'a "initié", au sens le plus complet du mot ; c'est-à-dire qu'il m'a "ouvert les portes" et "montré les voies" d'une manière si lumineuse que ce qu'il m'a appris n'a cessé de me guider tout au long d'un demi-siècle d'études et de recherches, et m'éclaire encore. »21

La mort de Papus

Les derniers jours de Papus

Gérard Encausse est mort le 25 octobre 1916.

« Le Dr. Encausse contracta la tuberculose. Il fut nommé à Tours, puis à Paris, où malheureusement un séjour comme médecin dans une usine de gaz asphyxiants lui fut néfaste. Jusqu’au bout il était donc victime de son dévouement. C’est le 25 octobre 1916 que son corps, surmené, lui refusa tout service... »22

« Le sang gitan qui coulait en ses veines l'enivra des vapeurs où frémit l'intuition des grandes réalités. Je puis témoigner qu'un jour de notre jeunesse où nous étudiions ensemble la chiromancie, il me dit en me montrant sa main : "Voyez : je mourrai à cinquante-trois ans". La prévision était juste. Quand, au cours de la guerre, son cercueil, enveloppé des trois couleurs françaises, sortit de l'église Notre-Dame-de-Lorette, une lourde masse de pierre tomba à dix centimètres derrière lui. Au fronton triangulaire de l'église, des sculptures représentent une scène sacrée. Ce fut la tête d'un des personnages, grands quatre fois comme nature, qui se détacha pour cette chute étrange. Cependant personne ne fut blessé.23

L'hommage de Sédir à Papus

Sédir prononça un discours lors de l'inhumation de Papus au Père Lachaise, le 28 octobre 1916.

« Des larmes montent à nos yeux, sans doute, mais nos cœurs savent qu'il n'y a pas de mort. Celui-là que nous saluons avec une brave tendresse, nous a appris que, de ce côté du Voile sont seulement les fumées passagères. De l'autre côté se déploient les splendeurs du Réel. Des larmes respectables et touchantes tombent sur cette sépulture entr'ouverte. Mais nous savons que, pour les serviteurs du Ciel, la mort est une invisible apothéose. »24

La tombe de Papus au Père Lachaise

Gérard Encausse est inhumé au cimetière du Père Lachaise.

« A la demande de nombreux admirateurs de Papus, nous donnons ci-après quelques indications permettant de trouver facilement cette tombe dans l'immense cimetière du Père Lachaise : Descendre au métro "Gambetta" et entrer par la porte "Gambetta" (avenue du Père Lachaise). Une fois la porte franchie tourner à gauche et suivre la grande allée. A l'intersection des 89ème et 93ème divisions tourner à droite et remonter l'allée centrale en comptant 32 tombes (à main gauche). Passer entre la 32ème tombe (famille Aubert) et la 33ème (famille Beauvais), suivre la petite allée et l'on trouvera la tombe de Papus, à main droite, à la 38ème tombe. »25

Localisation de la tombe de Papus au cimetière du Père-Lachaise
Localisation de la tombe de Papus au cimetière du Père-Lachaise26

Bibliographie des ouvrages de Papus

Papus a écrit de nombreux ouvrages, sous son nom de Gérard Encausse ou sous son pseudonyme. Une page spécifique est consacrée à la bibliographie complète de ses ouvrages. Une bonne partie d'entre eux est téléchargeable.

Principaux ouvrages de Papus

  • Traité élémentaire de science occulte, Carré, 1888
  • Le Tarot des Bohémiens, Carré, 1889
  • Traité méthodique de science occulte, Carré, 1891
  • La Cabbale, Carré, 1892
  • La Science des Mages et ses applications théoriques et pratiques, Chamuel, 1892
  • Traité élémentaire de magie pratique, Chamuel, 1893
  • La Réincarnation, Dorbon, 1912

Principales collaborations à des revues

  • L'Initiation (1888-1912)
  • Le Voile d'Isis (1890-1898 et 1905-1909)
  • Mysteria (1913-1914)

Liens

Notes

  1. MICHELET Victor-Emile, Les Compagnons de la Hiérophanie - Souvenirs du mouvement hermétiste à la fin du XIXe siècle, Collection Belisane, 1977
  2. Anthelme Nizier PHILIPPE (1849-1905), dit Monsieur Philippe ou Maître Philippe, était un thaumaturge et un homme de Dieu français, vivant à Lyon. Prédécesseur de Raspoutine à la Cour du Tsar Nicolas II, il fut considéré par Papus comme son Maître Spirituel.
  3. PHANEG, in L'Initiation, numéro 3 de 1981, pages 131 et 132 [Télécharger - Source : L'Initiation]
  4. Source : BIU Santé (Paris)
  5. ENCAUSSE Philippe, Sciences occultes, ou 25 années d'occultisme occidental, OCIA, 1949, page 42
  6. Le Nuctéméron se trouve en supplément du tome 2 du Dogme et Rituel de la Haute Magie d'Eliphas Lévi, page 385 et suivantes : LEVI Eliphas, Dogme et Rituel de la Haute Magie, Chacornac, 1930 [Télécharger Tome 1 - Tome 2 - Source : Gallica].
  7. ENCAUSSE Philippe, Papus - Le "Balzac de l'Occultisme", Belfond, 1979, page 26
  8. MICHELET Victor-Emile, Les Compagnons de la Hiérophanie - Souvenirs du mouvement hermétiste à la fin du XIXe siècle, Collection Belisane, 1977, pages 34 et 35
  9. MICHELET Victor-Emile, Les Compagnons de la Hiérophanie - Souvenirs du mouvement hermétiste à la fin du XIXe siècle, Collection Belisane, 1977, page 35
  10. Déclaration à nos lecteurs et à nos abonnés, in L'Initiation, numéro 5 de 1889, pages 97 à 102
  11. La Librairie du Merveilleux
  12. MICHELET Victor-Emile, Les Compagnons de la Hiérophanie - Souvenirs du mouvement hermétiste à la fin du XIXe siècle, Collection Belisane, 1977, page 95
  13. ENCAUSSE Philippe, Sciences occultes, ou 25 années d'occultisme occidental, OCIA, 1949, page 207. L'auteur ajoute en note de bas de page : « Comme ce fut aussi le cas pour Sédir... ».
  14. ENCAUSSE Philippe, Papus - Le "Balzac de l'Occultisme", Belfond, 1979, page 110 et suivantes
  15. ENCAUSSE Philippe, Papus - Le "Balzac de l'Occultisme", Belfond, 1979, page 112
  16. ENCAUSSE Philippe, Sciences occultes, ou 25 années d'occultisme occidental, OCIA, 1949, page 321
  17. ENCAUSSE Philippe, Le Maître Philippe, de Lyon - Thaumaturge et "Homme de Dieu", Editions Traditionnelles, 2003, pages 59 et 60
  18. PAPUS, Le Livre de la chance, Librairie des publications populaires, 1908, pages 135 et 136 [Télécharger - Source : Gallica]
  19. Le médium du Tsar ?, in Le Petit Parisien n°10 854 du mardi 17 juillet 1906 [Télécharger - Source : Gallica]
  20. PHANEG, Le Docteur Encausse, in Le Sphinx - Nice, 2 mai 1920
  21. GASTIN Louis, Souvenirs sur Papus, in L'Initiation, numéro 1 de 1960, pages 3 à 5 [Télécharger - Source : L'Initiation]
  22. ENCAUSSE Philippe, feuillet (non daté) annexé à la revue L'Initiation (nouvelle série)
  23. MICHELET Victor-Emile, Les Compagnons de la Hiérophanie - Souvenirs du mouvement hermétiste à la fin du XIXe siècle, Collection Belisane, 1977, pages 41 et 42
  24. SÉDIR, in L'Initiation, numéro 1 de 1967, pages 4 et 5 [Télécharger - Source : L'Initiation]
  25. ENCAUSSE Philippe, in L'Initiation, numéros 3&4 de 1956, page 170 [Télécharger - Source : L'Initiation]
  26. Source : Mairie de Paris - Informations pratiques et plans téléchargeables